Faucon.(encre sur papier) Eric Herregods.
07/02/2008 18:04 par herric
Les principales méthodes utilisées sont : le tracé de lignes, le hachurage (parallèle, croisé, courbe ou aléatoire), le griffonnage, le pointillé, le dégradé.
Parmi le matériel de dessin le plus commun, on trouve le crayon, le fusain, le pastel, la pierre noire, la sanguine, la craie blanche ainsi que la plume et l'encre de Chine ou tout autres objet qui laisse une trace. Mais tous les matériaux de dessin ne sont pas fabriqués à base d'eau ou d'huile : certains s'appliquent à sec sur le support, sans aucune préparation. Néanmoins, on peut trouver des pastels à base d'huile, des crayons à base de cire ou de peinture à l'eau...
L’image est photo-réaliste, généralement peinte grâce à une photographie projetée sur la toile. Le geste et les touches sont absolument invisibles. La figuration va ironiquement dans le sens des images publicitaires, en l’exagérant. Là où le Pop art ne faisait que reprendre ses méthodes et sa manière de représenter, l’hyperréalisme pousse sa logique à bout : le consommateur est roi, c’est donc lui qui est peint, dans toute sa banalité (et sa vulgarité). Les anciens portraits de nobles sont remplacés par ceux de gens « ordinaires », et parfois sur un format monumental (Chuck Close).
De 1920 à 1939, et en réaction à l'Art nouveau d'avant la Première Guerre mondiale, l'Art déco fut un mouvement artistique extrêmement influent surtout dans l'architecture et le design, mais concerna en fait plus ou moins toutes les formes d'arts plastiques.
Le style Art déco tire son nom de l'Exposition internationale des Arts Décoratifs et industriels modernes qui se tint à Paris en 1925
Les plus anciennes traces montrant l'emploi d'une technique picturale furent trouvées dans les grotte préhistoriques de Lascaux et Altamira. Les peintures rupestres furent réalisées à partir d'ocre d'argiles de charbons ou de craies réduits en poudre et mélangé à de l'eau ou d'autre liquides comme des sécrétions humaines tel la salive, ou du sang animal. Plusieurs techniques étaient employées pour appliquer la peinture, soit avec les mains, soit en utilisant une brosse rudimentaire dont on a trouvé des vestiges dans les grottes, soit en vaporisant la peinture avec la bouche. les peintres peignaient sur des grottes ou des parois rocheuses comme dans l'art des Aborigènes d'Australie.
L'évolution de la peinture est liée à l'évolution des techniques mais aussi à l'évolution de la perception du monde par les hommes.
Le terme de « néo-impressionnisme » est employé pour la première fois par Félix Fénéon, un critique d'art. Les premières œuvres datent cependant de 1884, avec notamment la baignade à Asnières de Seurat, exposé au premier salon des artistes indépendants. Son apogée correspond à la fin du XIXe siècle, mais son influence se ressent par la suite chez les fauves jusqu'aux expressionnistes allemands et aux sources de l'abstraction (premières œuvres de Wilhem Morgner ou de Wassily Kandinsky).
Le néo-impressionnisme a constitué un mouvement pictural avec ses défenseurs (dont le critique Fénéon), ses adeptes et ses lieux d'exposition. Il s'est diffusé rapidement en Belgique avec l'école luministe dont Théo van Rysselberghe et Henry Van de Velde sont les membres les plus connus. Ce dernier a permis l'expansion du mouvement vers l'Allemagne.
L’image est photo-réaliste, généralement peinte grâce à une photographie projetée sur la toile. Le geste et les touches sont absolument invisibles. La figuration va ironiquement dans le sens des images publicitaires, en l’exagérant. Là où le Pop art ne faisait que reprendre ses méthodes et sa manière de représenter, l’hyperréalisme pousse sa logique à bout : le consommateur est roi, c’est donc lui qui est peint, dans toute sa banalité (et sa vulgarité). Les anciens portraits de nobles sont remplacés par ceux de gens « ordinaires », et parfois sur un format monumental (Chuck Close).
L'évolution de la peinture est liée à l'évolution des techniques mais aussi à l'évolution de la perception du monde par les hommes.
L'analyse de la réception prolonge la théorie de la Gestalt, psychologie de la forme (XXe). Cette analyse de l'art s’attache à déterminer les processus psychologiques de la réception des œuvres par le spectateur. Cette réception n’est plus alors considérée comme simple perception et découverte (du savoir de l’artiste), mais comme la reconnaissance d’un savoir propre au spectateur, à sa propre culture et son milieu social (Gombrich, Arnheim).
Ces analyses psychologiques se prolongent à travers les diverses approches cognitives (psychologie cognitive, philosophie de l'esprit, etc), et notamment les découvertes récentes en neurosciences (fonctionnement du système nerveux : cerveau, cinq sens, etc), qui abordent par de nouvelles voies l'étude des perceptions ou les facteurs de jugement esthétique, voire les concepts de créativité ou d'imagination.